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Mise à jour sur le SARM à l’Unité de soins intensifs néonataux

Le 2 février 2016 – Mise à jour sur le SARM : L’éclosion de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) à l’Unité de soins intensifs néonataux de L’Hôpital d’Ottawa a été déclarée terminée le 21 janvier. Les tests de dépistage faits pendant trois semaines consécutives, à raison d’un par semaine, n’ont révélé aucun nouveau cas.

L’Hôpital remercie tout le personnel de leurs efforts pour éliminer la propagation de la bactérie. Nous remercions aussi les familles des patients de leur patience et de leurs efforts déployés pour aider à mettre fin à l’éclosion.

Le 7 janvier 2016, Ottawa – Nous poursuivons les efforts ciblés pour empêcher une bactérie appelée Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) de se répandre à l’Unité de soins intensifs néonataux. Le Service de prévention et de contrôle des infections de l’Hôpital œuvre à éliminer les sources possibles de la bactérie et à prévenir sa propagation. Déjà, nous sommes à renforcer des mesures très strictes d’entretien ménager et de lavage des mains.

Comme mesure extrême, nous avons soumis à des tests de dépistage tous les membres du personnel qui ont été en contact avec des patients de l’Unité afin de déceler l’éventuelle présence de la bactérie chez ces employés et de les traiter au besoin. Ainsi, nous nous attaquons à toutes les causes possibles de l’éclosion et réduisons au minimum le risque de transmission.

Le SARM a été décelé chez sept bébés, dont un qui a été infecté. Aucun autre cas n’est survenu cette dernière semaine.

L’Hôpital d’Ottawa reste déterminé à fournir des soins sécuritaires et de qualité. Nous prendrons toutes les mesures qui s’imposent pour résoudre ce problème.

Le 18 novembre 2015, Ottawa – L’Unité de soins intensifs néonataux au Campus Général de L’Hôpital d’Ottawa connaît une augmentation de la présence d’une bactérie appelée Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM). Les quatre bébés concernés se portent bien.

Le SARM est une bactérie courante qui peut être présente dans le nez, sur la peau et dans le gros intestin. Elle cause rarement des problèmes. Cependant, dans certaines situations, comme chez un poupon prématuré dont le système immunitaire est encore en développement, le SARM peut provoquer une infection du sang, des poumons ou de la peau. On peut alors traiter l’infection avec des antibiotiques.

Le SARM peut être transmis d’une personne à l’autre par le toucher. La bactérie peut survivre sur les surfaces et les mains pendant une courte durée. Cela dit, il est facile de l’éliminer en se lavant bien les mains à l’eau et au savon, ou avec du désinfectant pour les mains.

Les équipes de l’Unité de soins intensifs néonataux et du Service de prévention et de contrôle des infections ont mis en œuvre plusieurs mesures pour prévenir la propagation du SARM dans l’Unité :

  1. Elles ont renforcé l’application de l’hygiène des mains par le personnel, la famille et les visiteurs.
  2. Elles soumettent les bébés qui ont le SARM à des précautions de contact. Cela signifie que le personnel qui les soigne porte, au besoin, des gants et une blouse.

L’Hôpital d’Ottawa est déterminé à maintenir les normes les plus élevées en matière de sécurité des patients. Nous travaillons sans relâche pour prévenir la propagation de la bactérie et surveillons de très près la situation.

Nous reconnaissons que faire soigner un enfant aux soins intensifs est stressant et nous apprécions beaucoup l’aide des parents pour lutter contre le SARM. Nous les encourageons fortement à se laver les mains à l’eau et au savon, ou avec du désinfectant à base d’alcool, avant et après tout contact avec leur bébé.

Nous remercions les parents et leur famille de leur compréhension et de leur collaboration pendant cette période difficile.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la fiche de renseignements sur le SARM à l’intention des patients.