Back to Top Prévention et contrôle des infections - L'Hôpital d'Ottawa Website scanner for suspicious and malicious URLs
 

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Reconnu à l’échelle nationale pour son leadership en matière de contrôle des infections, le Programme de prévention et de contrôle des infections de L’Hôpital d’Ottawa est essentiel pour assurer la qualité des soins aux patients. Le Programme tient compte de recommandations et de conseils fondés sur des données probantes qui aident à réduire les risques d’infection pour les patients, le personnel et les visiteurs.

Le Programme aide à protéger les patients, les professionnels de la santé, le personnel et les visiteurs contre les maladies acquises à l’hôpital. Il le fait par la surveillance, l’enseignement, la consultation, des enquêtes sur les éclosions, la recherche et l’élaboration de politiques et de procédures.

Infection nosocomiale

Une infection nosocomiale est une infection qui a été acquise à l’hôpital. C’est-à-dire qu’elle n’était pas présente ou était en incubation avant l’admission du patient à l’hôpital mais qu’elle survient dans les 48 à 72 heures suivantes.

L’Hôpital surveille les taux d’infection de très près. Malgré cela, les cas de SARM et d’infection à C. difficile acquis à l’hôpital se multiplient au Canada. La hausse s’explique par plusieurs facteurs :

  • Les patients hospitalisés sont plus gravement malades de nos jours que par le passé.
  • De plus en plus de patients ont un système immunitaire faible.
  • Nous utilisons des procédures et des appareils nouveaux qui comportent certains risques.
  • L’utilisation d’antibiotiques a donné naissance à des bactéries très résistantes.
  • Les déplacements accrus permettent la propagation de bactéries et d’autres agents pathogènes aux quatre coins du monde.

Pour contrer l’augmentation des taux d’infection, l’Hôpital a mis en place plusieurs mesures préventives, dont les suivantes :

  • Programme d’hygiène des mains et amélioration de l’accès à du désinfectant pour les mains à base d’alcool
  • Dépistage à l’admission auprès de patients sans symptômes mais qui peuvent être porteurs d’organismes résistants
  • Utilisation de chambres privées, de blouses et de gants pour contrôler la transmission
  • Rénovation des aires où l’on soigne les patients
  • Augmentation des ressources affectées à l’entretien ménager
  • Éducation et campagne de sensibilisation des patients et des travailleurs de la santé

Renseignements complémentaires :

 

Page mise à jour le 13 janvier 2017