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Gillian Reid McDonald, IPA (à gauche), le D^r Rajendra Kale, neurologue, et Josée Carpentier, technicienne en EEG, ont célébré l’ouverture de l’Unité de surveillance de l’épilepsie en mai.

La nouvelle Unité de surveillance de l’épilepsie, la première unité pour les adultes dans la région d’Ottawa, a officiellement accueilli ses premiers patients quelques jours après son ouverture en mai.

L’unité de deux lits, située dans l’Unité de soins intermédiaires en neurosciences du Campus Civic, permettra aux personnes atteintes d’épilepsie pharmacorésistante d’être sous surveillance vidéo EEG (électroencéphalogramme) 24 heures sur 24 pendant un maximum de cinq jours consécutifs.

« Cette unité nous permettra de voir ce qui se passe quand les patients sont en crise et, on l’espère, d’améliorer leur qualité de vie », affirme Gillian Reid McDonald, infirmière de pratique avancée de l’Unité de surveillance de l’épilepsie. Grâce aux résultats de l’EEG, l’équipe de soins peut préciser le diagnostic et établir un plan de traitement adapté.

« Nous n’aurons plus besoin d’envoyer aussi souvent ces patients à Toronto ou à Montréal», indique le D^r Rajendra Kale, neurologue. « C’est une première pour L’Hôpital d’Ottawa et une étape importante en vue de créer un programme complet pour l’épilepsie. »

Selon Lori Timmins, membre du conseil d’Ottawa Épilepsie, cette nouvelle unité offre de l’espoir et une meilleure qualité de vie à de nombreuses personnes.

« On espère obtenir des diagnostics plus rapides et plus précis, et des plans de traitement plus faciles à gérer pour les patients et leurs aidants », indique M^me Timmins.

Le RLISS de Champlain finance l’Unité de surveillance de l’épilepsie à raison de 750 000 $ par année.

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