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Kim Teron, coprésidente de Partenaires investisseurs dans la recherche sur le Parkinson, s’est engagée à aider à trouver un traitement contre la maladie de Parkinson pour épauler des gens comme Ross Tuddenham, son mari.

Les bénévoles des Partenaires investisseurs dans la recherche sur le Parkinson (PIRP) ont une chose en commun : ils aiment tous une personne atteinte de la maladie de Parkinson.

Cet amour les a inspirés à amasser plus d’un million de dollars en seulement six ans afin de soutenir le Consortium pour la recherche sur le Parkinson de L’Hôpital d’Ottawa.

« Les PIRP rassemblent des patients atteints du Parkinson », précise Kim Teron, coprésidente des PIRP. « Ce sont des gens qui participent activement à la lutte contre le Parkinson. »

Ils amassent des fonds, surtout dans le cadre de l’activité « Courez pour une raison » pendant la Fin de semaine des courses Tamarack d’Ottawa, afin d’appuyer la recherche et d’attirer des spécialistes de calibre mondial. Les PIRP fournissent ainsi des mises de fonds initiales sans restriction à des chercheurs pour leur permettre de diriger leur propre recherche et d’obtenir ensuite des subventions.

« Les patients ont maintenant accès à des mécanismes d’adaptation qui ne seraient autrement disponibles que dans de grandes villes », poursuit Kim Teron, dont le mari a reçu le diagnostic de Parkinson en 2010. « Les meilleurs chercheurs sont attirés par L’Hôpital d’Ottawa parce qu’ils constatent que la collectivité appuie la recherche. »

Donner accès aux chercheurs est une autre force des PIRP. Par exemple, à chaque réunion, un scientifique du consortium renseigne le groupe sur les nouveaux développements. Des membres des PIRP sont aussi invités à visiter les laboratoires de recherche. En ayant directement accès aux chercheurs, les patients et leur famille peuvent en apprendre plus sur la maladie, qui touche 8 000 personnes à Ottawa.

« J’entretiens un lien direct avec des scientifiques de haut calibre », souligne Ross Tuddenham. « J’obtiens les plus récents renseignements d’un médecin qui cherche aussi un traitement avec des fonds que j’ai aidé à amasser. Nous nous dévouons à la même cause. »

M. Tuddenham a été soulagé d’apprendre que ses choix de vie n’avaient pas causé cette maladie et qu’il pouvait continuer de mener une vie active. Il joue toujours au tennis et au golf, en plus de nager et de soulever des poids.

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